Fritidsforum - Stockholm
Riksferböndet Sweriges fritids- Och HemgårdenÖlandsgatan 42
116 63 Stockholm
Avril 2017
La visite de la fédération nationale suédoise des centres sociaux s’est déroulée quelques jours après l’attentat au camion bélier du 7 avril dans l’artère la plus touristique et commerciale de la capitale. Cette attaque s’inscrit dans une vague d’attentats suicide en Europe car elle a lieu après ceux de Londres (22 mars) et de Saint-Petersbourg (3 avril). Le mode opératoire nous replonge dans la tuerie de Nice perpétrée quelques mois plus tôt à Nice. Ces attaques meurtrières ont créé avec nos partenaires suédois une solidarité dans la douleur. Selon notre hôte, Staffan LINDQVIST, “ ces actes renforcent notre détermination dans notre travail pour l’inclusion, la démocratie et une société ouverte”.
A notre arrivée dans les locaux, Staffan nous invita à retirer nos chaussures et à enfiler des chaussons en plastique. Selon notre hôte, le lieu de travail est un espace où il faut non seulement être à l’aise mais également protéger des saletés. Nos collègues suédois, en chausson sur leur lieu de travail, donne une image à la fois décontractée et conviviale au cadre professionnel.
Accueillis au siège d’une fédération suédoise créée en 1937, Fritidsforum (que l’on pourrait traduire par “forum des loisirs”), anime un réseau de structure de type centre social qui virent le jours en 1912 sur le modèle des “settlements” britanniques. La première “colonie”, Birkagården, fut fondée en 1912 à Stockholm par Natanael Beskow et Ebba Pauli. Tous les deux avaient été à Londres se sont inspirés du travail de “settlement”.
Pionniers des centres sociaux en Suède, Ils créèrent un «brödraförbund» entre travailleurs et chrétiens en proposant des cours pour éduquer la classe ouvrière. Ces bonnes oeuvres missionnaires laissèrent rapidment place à des missions plus urgentes telles que l’organisation de garderies et de clubs de jeunes. Dans les années 1930-1950, le mouvement centre social rencontra un grand succès et de nombreuses “colonies” furent fondées sur le modèle de Birkagården.
Avec 10 établissement en 1933 en Suède, les centres sociaux connaissaient un développement rapide. Certains des établissements ont également commencé à avoir des “clubs de jeunes” spécialement destinés aux jeunes.
Au fil des années 1920-1930, les centres sociaux suédois étaient parvenus à être reconnu pour la qualité de leur intervention sociale reconnue pour la qualité de l’éducation non formelle et de leur travail auprès des enfants et des jeunes. Et ce, à un moment où s’engageait en Suède un débat sur la façon de traiter le «problème de la jeunesse». Cela a augmenté l’intérêt pour les centres sociaux et le nombre d’entre eux a été doublé en peu de temps. En utilisant les centres sociaux comme modèle, les services municipaux de garde d’enfants, «barnavårdsnämnderna», ont créé des centres municipaux de la jeunesse dans de plus en plus de régions du pays.
Avec 10 établissement en 1933 en Suède, les centres sociaux connaissaient un développement rapide. Certains des établissements ont également commencé à avoir des “clubs de jeunes” spécialement destinés aux jeunes.
Au fil des années 1920-1930, les centres sociaux suédois étaient parvenus à être reconnu pour la qualité de leur intervention sociale reconnue pour la qualité de l’éducation non formelle et de leur travail auprès des enfants et des jeunes. Et ce, à un moment où s’engageait en Suède un débat sur la façon de traiter le «problème de la jeunesse». Cela a augmenté l’intérêt pour les centres sociaux et le nombre d’entre eux a été doublé en peu de temps. En utilisant les centres sociaux comme modèle, les services municipaux de garde d’enfants, «barnavårdsnämnderna», ont créé des centres municipaux de la jeunesse dans de plus en plus de régions du pays.
Cela a eu un impact sur le développeemnt des centres sociaux. L’Etat et les municipalités s’engagèrent à cette période dans la création d’un Etat providence. Cette politique a eu un impact sur le développeemnt des centres sociaux qui tombèrent de plus en plus dans l’anonymat. Les centres municipaux de la jeunesse sont devenus de plus en plus communs et, en 1958, la Fédération nationale des centres sociaux décida d’accepter les centres municipaux de la jeunesse comme membres de son réseau.
La fédération pris le nom de “Fédération nationale des centres de jeunesse et centres sociaux”. Fortement débattue à l’époque, cette décision s’est traduite par la domination du travail de jeunesse municipal dans la fédération jusqu’en 2010. Date à laquelle la décision fut prise de changer les statuts afin que seules les ONG puissent en faire partie. Les organisations municipales sont ont désormais un statut de membres associés. Cette évolution s’explique par la disparition de 300 centres de jeunesse municipaux dans les années 1990′ en raison de la crise économique et du retrait des pouvoirs publics. Un grand nombre de centres furent relancés par les centres sociaux qui ont fait la preuve de l’éfficacité d’un mouvement à faire face aux difficultés en puisant dans les ressources et capacités de chacun à développer son autonomie. Illustrant ainsi parfaitement la démarche engagées par Natanael Beskow au moent de la fondation de Birkagården en 1912: «La colonie aidera les gens à être libres et à penser et agir librement».
Fritidsforum se distingue par la diversité des structures qui composent son réseau.fédère des organisations spécialisées dans des domaines aussi différents que la jeunesse ou le handicap. Sans intermédiaire au niveau local, la fédération nationale suédoise est en contact direct avec les centres et associations de proximité. Cela a eu un impact sur le développeemnt des centres sociaux. L’Etat et les municipalités s’engagèrent à cette période dans la création d’un Etat providence. Cette politique a eu un impact sur le développeemnt des centres sociaux qui tombèrent de plus en plus dans l’anonymat.
Les centres municipaux de la jeunesse sont devenus de plus en plus communs et, en 1958, la Fédération nationale des centres sociaux décida d’accepter les centres municipaux de la jeunesse comme membres de son réseau. La fédération pris le nom de “Fédération nationale des centres de jeunesse et centres sociaux”. Fortement débattue à l’époque, cette décision s’est traduite par la domination du travail de jeunesse municipal dans la fédération jusqu’en 2010. Date à laquelle la décision fut prise de changer les statuts afin que seules les ONG puissent en faire partie. Les organisations municipales sont ont désormais un statut de membres associés. Cette évolution s’explique par la disparition de 300 centres de jeunesse municipaux dans les années 1990′ en raison de la crise économique et du retrait des pouvoirs publics. Un grand nombre de centres furent relancés par les centres sociaux qui ont fait la preuve de l’éfficacité d’un mouvement à faire face aux difficultés en puisant dans les ressources et capacités de chacun à développer son autonomie. Illustrant ainsi parfaitement la démarche engagées par Natanael Beskow au moent de la fondation de Birkagården en 1912: «La colonie aidera les gens à être libres et à penser et agir librement».
Fritidsforum se distingue par la diversité des structures qui composent son réseau.fédère des organisations spécialisées dans des domaines aussi différents que la jeunesse ou le handicap. Sans intermédiaire au niveau local, la fédération nationale suédoise est en contact direct avec les centres et associations de proximité.
Fritidsforum se distingue par la diversité des structures qui composent son réseau.fédère des organisations spécialisées dans des domaines aussi différents que la jeunesse ou le handicap. Sans intermédiaire au niveau local, la fédération nationale suédoise est en contact direct avec les centres et associations de proximité.
Fritidsforum se distingue par la diversité des structures qui composent son réseau.fédère des organisations spécialisées dans des domaines aussi différents que la jeunesse ou le handicap. Sans intermédiaire au niveau local, la fédération nationale suédoise est en contact direct avec les centres et associations de proximité. Suite à une présentation du mouvement centre social en Suède, nous avons engagé un échange avec Marwa (marwa.chebil@fritidsforum.se) autour de la question du genre chez les enfants, les jeunes et leurs animateurs.
